Selon Raven Software, 50 000 comptes supplémentaires ont été bannis suite au vague d’interdiction de Call of Duty Warzone aujourd’hui.
Le principal développeur de Call of Duty a publié une mise à jour sur Twitter, une semaine après sa dernière mise à jour concernant la lutte contre les pirates et les tricheurs dans la bataille royale free-to-play. C’est de loin le rythme le plus fréquent de ses mises à jour qui viennent pour rencoforcer la vague d’interdiction de Call of Duty Warzone.
🚫 Another #Warzone ban wave today!
Banned 50,000 accounts targeting cheaters and cheat providers.
More to come.
— Raven Software (@RavenSoftware) September 1, 2021
Le 25 août, le développeur a déclaré avoir banni 100 000 comptes. Avant cela, la mise à jour la plus récente datait du 11 août. Plus loin encore, la mise à jour précédente datait du 14 mai, ce qui montre que la société bannit des comptes plus fréquemment ou fournit des mises à jour plus fréquemment au cours des deux derniers mois.
Quoi qu’il en soit, cela semble être une évolution positive. La Warzone ne devrait pas recevoir son système anti-triche avant la fin de l’année, avec la sortie de Call of Duty : Vanguard, mais les bans continuent d’arriver, et elles arrivent en force. Warzone reste une bataille très populaire malgré le problème de la tricherie, mais il subit la concurrence acharnée d’une autre bataille royale, Apex Legends. De nombreux joueurs et streamers célèbres sont passés à la vitesse supérieure ou se sont essayés aux deux titres.
C’est en avril qu’Activision avait commencé à émettre des interdictions matérielles contre les hackers. Etant gratuit, beaucoup contournent les interdictions en créant simplement de nouveaux comptes. Mais les interdictions matérielles rendent plus difficile le retour au jeu.
